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Il y a des rencontres qui illuminent le quotidien et pas plus tard que samedi dernier La Papelista a été mon rayon de soleil.

J’ai fait la connaissance de La Papelista via Facebook (que j’ai depuis peu mais j’en suis accro, ça y est!). J’ai découvert « ses découpages » comme elle aime les appeler et quelques origamis. J’ai tout de suite aimé et je suis allée à sa rencontre. Il faut savoir déclencher les occasions et celle-là en était une belle.

J’ai pris mon petit train de province pour « descendre à Paris » (oui on est légèrement au nord de Paris et chez nous on descend ou on monte selon).

Et c’est aux Invalides (je ne fréquente que les beaux quartiers parisiens) que j’ai rencontré Sibylle, La Papelista. C’était à l’occasion d’une vente-exposition pour les blessés de guerre. Celles qui me connaissent peuvent bien sourire, j’aurais pris mes jambes à mon cou si La Papelista n’avait pas été là.

Ce n’est pas parce que je suis (belle et) rebelle, plus rebelle que belle, anti-uniformiste et anti-médailliste, syndicaliste et républicaine que je n’apprécie pas les belles choses (mon éducation sans doute).

J’ai découvert des artistes talentueux, de la peinture, sculpture et ….découpage.

Avec la Papelista la relation s’est faite tout de suite, nous avons partagé nos expériences, notre passion du papier et nos rêves. Rien n’aurait pu l’arrêter et nous avons eu une discussion à bâtons rompus, je serais bien restée plus longtemps, prendre le temps de contempler ses découpages petits, minutieux, espiègles (d’où le « Mieux vaut être belle et rebelle que moche et remoche » que je vais bientôt m’offrir) et pleins de poésie. J’ai toujours admiré ce travail qui demande tant de précision.

Les créations de La Papelista sont encadrées, en guirlandes et encore en boucles d’oreille et là je n’ai pas résisté, j’ai craqué.

Allez vite les découvrir dans sa boutique.

 

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